L’idée de mettre en place des zones de 30km/h dans les villes fait son chemin en Suisse romande
La motivation se joue sur deux plans. La première concerne la sécurité routière, sachant qu’en diminuant la vitesse à 30 km/h, la violence du choc est divisé par trois et que les chances de survie sont de fait beaucoup plus élevées. La deuxième motivation touche les nuisances sonores qui ont un impact important sur la qualité de vie des riverains.